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Rencontre avec un jeune Français de 20 ans, exilé au Brésil pour les études, Nicolas Santos. Il n'a d'ailleurs jamais aussi bien porté son nom. Il habite à... Santos, ville portuaire située dans l’Etat de São Paulo. Etre au Brésil pendant la Coupe du Monde ? Une chance, un rêve. Mais surtout, une belle occasion de nous raconter l’excitation que procure cette compétition pour les Brésiliens à un mois de l'événement…

 

Le Brésil, un pays chaleureux et pas uniquement grâce au climat tropical. Nicolas a remarqué, et ce dès son arrivée sur le sol « do Brasil », une atmosphère agréable et des gens toujours prêts à rendre service. "La culture est totalement différente par rapport à la France. On t’accueille à bras ouverts, on te donne des conseils, on t’aide. Il y a vraiment une solidarité." Sympa pour les compatriotes…

 

« Un engouement populaire exceptionnel »

 

À environ un mois de la cérémonie d’ouverture de la vingtième Coupe du Monde, l'ambiance commence à monter. Les Brésiliens sont impatients et surtout fiers d’accueillir le plus grand événement planétaire consacré à un sport unique. "Les jeunes comme les plus anciens portent les maillots. Dans les bars, les restaurants, il y a des fanions et des drapeaux. Très souvent, on t’interpelle pour te demander quelle équipe tu supportes", décrit Nicolas. « Quand j’ai dit que j’étais Français, on m’a dit que ça allait être différent de 1998 » (C’est toujours bon de le rappeler, la France avait battu à l’époque le Brésil 3-0 en finale à Paris). Confiants ces Brésiliens. Peut-être un peu trop ? Réponse le 13 juillet prochain.

Brésil : la victoire sinon rien

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